Edition originale, un des 500 exemplaires numérotés sur vélin blanc, seul tirage avec 15 Japon.
Bel exemplaire.
Pensées laconiques, aphorismes poétiques, sentences définitives et maximes tranchantes ou plus légèrement anecdotes amusantes, bons mots irrévérencieux, épigrammes sarcastiques et réparties sans appels...
Qu'en pensez-vous ?
Edition originale, un des 500 exemplaires numérotés sur vélin blanc, seul tirage avec 15 Japon.
Bel exemplaire.
Edition originale de cette apologie de l'ivresse, ornée d'un joli frontispice gravé représentant Bacchus assis sur un tonneau, tenant une coupe de vin dans une main et dans l'autre une grappe de raisin.
Cf. Vicaire 326. Bitting 415. Barbier II, 75 d. Oberlé, Une bibliothèque bachique, 523 (pour l'édit. de 1798).
Reliure en demi basane fauve à coins, dos à cinq nerfs orné de filets dorés, plats de papier marbré, coins émoussés, tranches mouchetées de rouge.
Cet ouvrage contient de nombreuses anecdotes et citations tirées de l'histoire de tous les pays. On y lit "que le vin donne de l'esprit", "un catalogue de quelques illustres buveurs", "que le vin nous acquiert des amis & nous réconcilie avec nos ennemis", ou encore "qu'il est bon pour la santé de s'enyvrer quelquefois", mais qu'il ne faut pas "pousser l'yvresse trop loin". Issu d'une famille de réfugiés protestants,
Albert-Henri de Sallengre (La Haye, 1694 - id., 1723) fut avocat de la cour de Hollande, conseiller du prince d'Orange et commissaire des finances des Etats généraux des Provinces-Unies.
Petite tache brune en marge droite des premiers feuillets, annotations à la plume et tampon sur les gardes blanches marginalement salies.
Agréable et rare exemplaire.
Provenance : de la bibliothèque de Fridrich Otto de Munchhausen [sic] avec son ex-libris gravé encollé sur un contreplat.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Paul Valéry à Germaine Fiévé : "... petit souvenir d'une collaboration sans mauvaises pensées et autres..."
Edition originale, un des 26 exemplaires numérotés sur vélin du marais, seuls grands papiers.
Rare et agréable exemplaire.
Introduction par Gérard Bauër.
Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.
Laconique mais bel envoi autographe signé de Gabriel Matzneff à son ami le critique littéraire belge Pol Vandromme : "Pour Pol Vandromme, torero de première classe, amicalement. Gabriel Matzneff."
Edition originale sur papier courant.
Envoi autographe signé, au crayon de papier, de Sacha Guitry à madame Simone Gerbert.
Manuscrit original autographe de Paul Claudel, signé et daté, pour sa préface de A la trace de Dieu de Jacques Rivière. Dix-sept pages et demi à l'encre noire sur cinq doubles feuillets.
Quelques mots biffés et réécritures. Pli horizontal, quelques rousseurs sur la première page, notes au crayon d'un bibliographe sur la dernière page vierge. La préface, datée de juin 1925 est parue une première fois dans le Correspondant le 25 septembre 1925, puis avec les Carnets de Rivière publiés la même année par sa femme sous le titre A la trace de Dieu (Gallimard, p. 9-24).
Manuscrit complet de la belle préface de Paul Claudel pour la publication posthume des carnets tenus par Jacques Rivière lors de sa captivité pendant la Grande Guerre. L'écrivain rend hommage à travers ces pages à ce livre qui, si son auteur en avait eu le loisir et le temps - Rivière est mort à 39 ans - serait devenu un traité d'Apologétique Chrétienne.
Manuscrit autographe de 12 pages sur feuillets à carreaux, rédigé à l'encre bleue, nombreux passages soulignés.
Ensemble de réflexions inédites de Jean-Paul Sartre portant sur la structure sociale et l'idéologie bourgeoise, écrites probablement en 1952 dans le cadre d'un projet de scénario sur la période révolutionnaire. Cette série de dialogues intérieurs sur la nature du pouvoir individuel et collectif constituent une première ébauche des idées développées dans son chef-d'œuvre de 1960, la Critique de la raison dialectique. à travers l'exemple de la Révolution française et de la Terreur, Sartre s'interroge sur le rôle du citoyen et de la propriété en invoquant les écrits de Kant, Marx, Rousseau, Hobbes, Saint Paul et Luther.
Edition à la Sphère, de la presse des Elzevier. Le sens du mot Maximes est assez éloigné du sens moderne, il est davantage lié à ce qui préside aux intérêts des Princes, et par quoi précisément ils sont liés. Le livre constitue une histoire des relations internationales, étudiant les intérêts que chaque nation a sur une autre : La France sur la Flandre, le Saint Empire sur la France, le Danemark sur... Assuré que ces intérêts sont d'ordre historique, généalogiques... L'ouvrage de Courtilz de Sandras est une imitation dans la forme de l'ouvrage du Duc de Rohan qui avait paru auparavant sous le titre : Intérêts et maximes des princes et des estats souverains ; son livre tend à se faire passer pour une suite, mais il est rédigé avec plus d'étendues que celui du Duc de Rohan.
Reliure en plein veau blond d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre de veau blond. P. 34 une zone de la page en marge caviardée, avec perte de quelques lettres. Une déchirure p. 163 avec petit manque au coin bas. Bel exemplaire.
Edition originale de ces trois physiologies bien illustrées ; pour exemple la première physiologie contient 65 vignettes. Seule la Physiologie du flaneur porte une date.
Physiologie du flaneur. Vignettes de Alophe, Daumier et Maurisset.
Physiologie de l'employé. Vignettes par Trimollet.
Physiologie de la femme la plus malheureuse... Vignettes par Valentin.
Reliure en demi basane noire d'époque. Dos lisse orné de filets. titres dorés. Frottements. rares rousseurs éparses, sur un papier demeuré bien blanc.
Seconde édition, rare, après l'originale parue en 1698 chez Barbin.
Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Coiffe de tête élimée. Frottements. Rousseurs.
L'ouvrage n'appartient à aucunu genre défini ; dans une manière très libre, un Siamois conte des anecdotes qu'il mêle de maximes sur divers sujets : Le palais, la cour, le public, le bois de Boulogne, l'opéra... Ces considérations satiriques de la société parisienne, pêle-mêle, ne possèdent pas une narration suivie ; l'oeuvre ouvrira la voie aux lettres persanes de Montesquieu. Elle en est une des principales sources.
Nouvelle édition pour les trois premiers tomes, lequels ont paru respectivement en 1742 et 1743 ; les tomes 4 et 5 paraissent ici pour la première fois en 1765 et 1773. Pages de titres en rouge et noir.
Plein Veau blond d'époque marbré et glacé. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Coiffes de têtes des tomes 1 et 2 élimées; coiffe de têtes des tomes 3, 4 et 5 effilochées ; queues des tomes 2 et 5 élimées. 4 coins émoussés sur l'ensemble des tomes. Ensemble de bel aspect.
Hermann Boerhaave est une des grandes figures de la médecine moderne, fondateur de la médecine clinique, il a publié en 1709 son livre le plus célèbre et qui a contribué à sa gloire en Europe : Les Aphorismes, sorte de manuel fondamental dans la connaissance des maladies et leurs traitements. Van Switen fut un des élèves et disciples de Boerhaave dont les leçons attiraient des auditeurs de toute l'Europe. Il travailla pendant dix ans sur Les Aphorismes ; sa lecture contribua particulièrement à remplir tout le XVIIIe du nom de Boerhaave.