Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne
Les Oeuvres de Monsieur de Molière

MOLIERE

Les Oeuvres de Monsieur de Molière

15 000 €

Le minotaure ou la halte d'Oran

Albert CAMUS

Le minotaure ou la halte d'Oran

6 800 €

Lithographie originale pour la pièce de théâtre 'L'argent' d'Emile Fabre

Henri de TOULOUSE-LAUTREC

Lithographie originale pour la pièce de [...]

3 000 €

Vipère au poing

Hervé BAZIN

Vipère au poing

7 000 €

Les tragedies de Robert Garnier

Robert GARNIER

Les tragedies de Robert Garnier

4 000 €







   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31430 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Catégories

Conditions de vente


Moyens de paiement :

Paiement sécurisé (SSL)
Chèques
Virement bancaire
Mandats administratifs
(Musées et Bibliothèques)


Délais et tarifs de livraison

Conditions générales de vente

Autographe, Edition Originale

Max JACOB Lettre autographe signée adressée à madame Léon Daudet à propos de la mort de son fils Philippe "... croyez aussi à mes prières ferventes sinon pour le bienheureux enfant dont le ciel accueille l'innocence..."

350 €

Réf : 83992

Commander

Réserver

Poser une question

ajouter à ma collection virtuelle Ajouter à ma collection virtuelle

Max JACOB

Lettre autographe signée adressée à madame Léon Daudet à propos de la mort de son fils Philippe "... croyez aussi à mes prières ferventes sinon pour le bienheureux enfant dont le ciel accueille l'innocence..."

S.n., Saint-Benoit-sur-Loire 1er Décembre 1923, 15,5x19,5cm, une page sur un feuillet.


Lettre autographe datée et signée de Max Jacob adressée à madame Léon Daudet (17 lignes à l'encre noire depuis Saint Benoit-sur-Loire) dans laquelle le poète exprime toute sa tristesse et sa sollicitude pour la famille Daudet pleurant la perte de Philippe Daudet : "... j'ai appris tout le malheur qui frappe votre famille..."  mais aussi toute sa piété : ""... croyez aussi à mes prières ferventes sinon pour le bienheureux enfant dont le ciel accueille l'innocence du moinsd pour les pauvres parents à qui le destin arrache hélas ! leur chair vive."
Le 23 Novembre 1923, à bord d'un taxi, l'on retrouva Philippe Daudet mort à l'âge de 14 ans, son père, virulent journaliste et militant monarchiste accusant les milieux anarchistes ou la police de la Troisième république d'avoir maquillé ce "crime" en suicide.
 

350 €

Réf : 83992

Commander

Réserver

  Assistance en ligne