Le voyage extraordinaire des éditions Hetzel : Les plus belles reliures d'éditeur du XIXè siècle.

À chaque instant de son histoire le livre a su épouser les modernités les plus audacieuses, participer à la défense des pensées séditieuses et à l'émergence des arts mutins. La photographie est tout cela à la fois et le livre en fut dès l'origine le principal thuriféraire.

Une dédicace unique de Proust sur un de ses textes phares nous promène dans le Paris de la Belle époque et nous susurre les secrets de cet illustre écrivain.

A travers une fausse citation, l'encre bleue de Proust révèle ici sa pensée artistique du Vrai par l'Art, sur une œuvre embellie des illustrations d'une de ses amie, Madeleine Lemaire.


Les symboliques de ce que représente cet ouvrage délient le mystère sur la relation avec Jean Béraud, soulignent l'importance du duel contre Jean Lorrain et incarnent les prémices de celui qui deviendra l'écrivain du Temps.

Réalisé en mai 1938, ce portrait inédit ne fut tiré qu'après-guerre lorsque les négatifs de cette incroyable et ultime séance photographique, organisée malgré la surveillance constante de la Gestapo, furent retrouvés grâce à Anna Freud.

Avant de faire monter l'immensité bleue des océans dans la petite boîte noire de nos salons, le commandant Cousteau dû inventer une autre boîte qui descendrait dans les profondeurs insondables de la planète Mer.


Si l'on connait bien l'aventurier au bonnet rouge, on sait moins qu'il fut avant tout un inventeur de scaphandres et de sous-marins révolutionnaires qui inaugurèrent les voyages extraordinaires de 720 lieues sous les mers.
Le Feu Follet a retrouvé un document unique de ces débuts de la conquête aquatique.

Soyez étonné !

La bibliophilie a ses codes, ses valeurs, son orthodoxie. Le jargon des libraires témoigne des exigences et des attentes légitimes des collectionneurs. Mais l'amateur sait aussi déserter ces rivages pour s'aventurer sur le vaste océan des livres et manuscrits.

"Pales spectres d'une légende apparue au XXème siècle de notre ère, hantant sans répit les conservateurs, rampants à chaque recoin de bibliothèque, se nourrissant de fragments de cuir et suintants des moisissures dont ils se contaminent, s'abreuvant de la sueur des chercheurs zélés comme la sombre bête bibliophage et vorace dont cent fois maudit fut le reflet..."